Cet article concerne tous les couples et surtout les parents parce que la séparation ou le divorce lorsque vous avez des enfants n’est pas une petite affaire. Avant de prendre la décision de rompre avec quelqu’un qui restera un parent pour la vie et sera donc en théorie toujours en relation avec ses enfants, il vaut la peine de réfléchir et de poser les bonnes questions sur la question de savoir si la vie de famille sous le même toit est définitivement terminée.
Il est effrayant de prendre la décision de partir ou de rester.
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Il est tout à fait normal que certaines personnes prennent plusieurs mois ou même des années avant de décider de se séparer, car ce changement est une agitation pour tout le monde, qu’il s’agisse de la famille, des parents et des beaux-parents, des amis, des collègues.
Le but de cette réflexion n’est pas d’encourager à se séparer et encore moins à se prononcer sur elle, mais :
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- pour faire le point sur sa situation actuelle pour déterminer si elle peut s’améliorer ou si la séparation est le seul résultat possible.
- éviter de faire les pires erreurs par rapport à votre couple, famille, enfants.
Avant d’énumérer les bonnes questions, je voudrais me référer au point particulier de la VIOLENCE .
Plan de l'article
- La violence, une raison de divorcer sans discussion
- Voici les 11 questions pour connaître l’avenir dans l’amour du couple
- 1-Est-ce que je serai moralement soutenu ?
- 2- Quels sont les impacts financiers de la séparation ?
- 3- Dois-je bouger ?
- 4- Quel mode de garde d’enfants dois-je mettre en place ?
- 5-Aimez-vous encore votre conjoint ?
- 6- Quel est mon but ? Pourquoi je me sépare ? Pourquoi est-ce que je divorce ?
- 7- Est-ce que je connais une personne pour garder des enfants de toute urgence en cas de besoin ?
- 8- Quel est l’impact de cette séparation sur les enfants ?
- 9- Je ne suis pas heureux à cause de mon couple ?
- 10- Avez-vous peur de la solitude ?
- 11- Êtes-vous dans un processus d’interrogatoire ?
La violence, une raison de divorcer sans discussion
La violence peut tuer, il est donc pour soi et pour leurs enfants de se sauver le plus rapidement possible en cherchant des solutions de refuge, car la violence physique lorsqu’elle est extrême peut causer des dommages irréparables tels que des handicaps, des blessures graves ou la mort intentionnelle ou accidentel. La violence verbale moins détectable n’est pas moins toxique. Elle ne laisse pas de traces visibles mais de grandes séquelles psychologiques qui, dans les pires scénarios, peuvent conduire au suicide, à une dépression profonde. Je ne parlerais pas ici des pervers narcissiques qui manipulent les esprits et détruisent leurs conjoints parce que le sujet est vaste mais quand la violence habite la famille, le RÉFLEXE DE SURVIE EST DE FUIR SANS HÉSITER, SANS POSER DE QUESTIONS.
En dehors de ces cas très spéciaux, il est important avant de prendre une décision finale impliquant toute la famille et les proches.
Voici les 11 questions pour connaître l’avenir dans l’amour du couple
1-Est-ce que je serai moralement soutenu ?
Une séparation, un divorce est très nerveusement tentant. Cela provoque une énorme fatigue physique et mentale. Si la décision se rompt, vous devez vous y préparer en vous demandant sur qui nous pouvons compter : famille, amis, psychologue, coach de vie, collègues, association de parents seuls ? Tout seul avec des enfants à élever, il est nécessaire de vous entourer d’au moins une personne attentionnée qui sera là pour écouter, remonter le moral, donner des conseils pour aller mieux, prendre du recul, relativiser, réconforter. N’hésitez pas à faire confiance aux forums, aux groupes de soutien sur Internet non plus.
C’ est important d’être encouragé car vivre une pause ou un divorce exige du courage de rebondir et de ne pas sombrer dans la tristesse, la dépression, la colère… Cette question est importante, chaque parent a le droit de se tromper et compte tenu de la situation, c’est normal. D’autre part, de mon point de vue, il n’a pas le droit de se laisser aller trop longtemps parce qu’il risque de former ses enfants avec lui. Le divorce ou la séparation n’enlève pas la responsabilité de ses enfants . Il est donc essentiel d’être encouragé et soutenu. Si nous avons quelqu’un qui peut nous soutenir, l’idée est de chercher de l’aide en dehors de son environnement habituel. Ce soutien existe, il suffit de le chercher. Lorsque vous vivez dans une situation difficile, c’est le moment où nous découvrons qui les gens qui aiment vraiment nous et sommes là pour nous réconforter. Et c’est la grande surprise ! Parfois, ceux qui étaient pensés pouvoir compter sur nous abandonner ou nous critiquer et d’autres nous surprennent en nous apportant un réconfort inattendu. Cela vaut également pour les amis sachant qu’à la suite d’une rupture, certains amis prennent parti pour l’autre conjoint et nous laissent tomber.
2- Quels sont les impacts financiers de la séparation ?
Personnellement, sauf en cas de danger mortel, je n’approuve pas les pauses soudaines et particulièrement inréfléchies quand elle affecte les enfants. Être responsable, c’est faire le bilan des dépenses futures liées au divorce (honoraires d’avocat, indemnité compensatoire…), séparation (double loyer, achat potentiel d’une 2ème voiture, etc.). Il est très important d’énumérer les charges liées à une nouvelle vie en tant que parent solo et de réfléchir aux meilleures façons de vivre avec moins d’argent. Il permet de préparer la séparation de manière réaliste et d’identifier actions à prendre afin de ne pas finir tous les mois dans le rouge. Sachant exactement combien vous avez besoin de vivre, vous vous préparez à obtenir la quantité d’argent nécessaire : il peut être en retravaillant, passer de temps partiel à temps plein, vendre des affaires inutiles, déménager dans un appartement moins cher, se loger temporairement avec quelqu’un pour économiser de l’argent en entrant dans un colocataire, par en apprendre davantage sur les aides réservées aux familles monoparentales… L’objectif est de savoir si vivre financièrement avec moins d’argent et de temps est possible. Si cela n’est pas possible, cela ne signifie pas que nous ne devons pas nous défaire, mais que nous devons chercher des solutions pour que cela soit possible. Je sais que certaines mamans qui veulent divorcer épargnent bien avant la séparation de l’argent pour faire face à la vie d’une mère célibataire. Je ne juge pas ce comportement, mais j’en parle pour donner l’exemple des parents qui se préparent financièrement à la panne. Rencontre avec un avocat et/ou de l’aide sociale pour en savoir plus sur le divorce procédure, sa conduite, son coût, le soutien possible pour une famille monoparentale est pas le luxe.
3- Dois-je bouger ?
Pour des raisons financières (loyer actuel trop élevé pour un parent seul) et/ou pratique (se rapprocher de ses propres parents, école d’enfants, etc.), cette question se pose. Comme pour la question précédente, elle sert à préparer son avenir parce qu’un mouvement n’improvise pas. Un déménagement est beaucoup d’énergie pour trier, faire des boîtes, démonter et assembler les meubles, mettre à jour votre nouvelle adresse… Il est utile de créer une liste de contrôle des tâches à accomplir pour gagner du temps et éviter les imprévus imprévus imprévus. En outre, pour une location, vous devez avoir une idée claire du prix du marché immobilier et avoir un bon dossier. Si un être cher ou un ami peut se porter garant de cela est un bon point pour soutenir sa demande en tant que locataire. Anticiper, c’est gagner du temps et être moins souligné, ce qui est primordial lorsque vous êtes un parent solo.
4- Quel mode de garde d’enfants dois-je mettre en place ?
Souhaitez-vous avoir la garde exclusive des enfants ? Un garde alternatif ? Ce choix déterminera l’adresse des parents séparés, car dans le cas d’une autre garde, la distance entre les deux logements doit être réduite pour faciliter les déplacements, gagner du temps et réduire la fatigue du retour et du retour entre les logements. Si l’autre parent n’est pas d’accord sur votre choix du mode de garde, vous devinez que vous vous engagez à un divorce inamicable mais très conflictuel si difficile nerveusement pour vous si potentiellement pour les enfants.
5-Aimez-vous encore votre conjoint ?
Il n’y a pas d’ordre d’importance dans toutes ces questions, je les ai écrites comme elles sont venues à l’esprit, basé sur mon expérience personnelle. Si vous aimez encore le père ou la mère de vos enfants, avez-vous pensé à : pourquoi voulez-vous vous séparer ? C’est dû à une infidélité que vous soupçonnez ? Si oui, pouvez-vous pardonner ? Tu as pris le temps d’y réfléchir ? Est-ce dû à une routine qui a mis en place ? S’il y a encore de l’amour, avez-vous discuté avec votre partenaire de la situation du couple ? Avez-vous essayé de trouver des solutions à vos problèmes de couple ? Avez-vous discuté de cela avec un psychologue, un couple de médiateurs ? C’est ce que tu as tout essayé pour remettre l’amour au centre du couple ? Ce mal-être n’est-il pas dû à des causes temporaires : fatigue liée à une naissance, chômage, sentiment de solitude parce que l’autre a trop de travail, problèmes liés à la routine ? La réflexion est de faire le point de savoir si toutes les actions utiles ont été tentées avant la séparation. Parce que si nous nous séparons sans avoir essayé de réparer le couple, nous pouvons toujours avoir des regrets au bas de nous que nous n’avons pas essayé tout. Alors que si nous avons tout essayé, nous avons une conscience plus calme et le sentiment d’avoir fait de leur mieux pour réparer les choses même si le succès n’a pas été au rendez-vous. Si l’autre vous quitte, pourquoi n’essaies-tu pas de le récupérer si tu l’aimes toujours ? Ce n’est pas impossible, parfois ça marche.
6- Quel est mon but ? Pourquoi je me sépare ? Pourquoi est-ce que je divorce ?
Il est essentiel de comprendre si les raisons sont incontestables ou si elles ne sont pas solides. Une raison indiscutable est une situation qui n’est plus supportable pour soi-même, la souffrance, un mal-être durable causé par la relation, un sentiment permanent d’auto-dévaluation, une douleur qui se répète sans chercher une solution (par exemple en raison de nombreuses infidélités) un projet de vie à 2 qui n’est plus compatible avec ses désirs les plus profonds, ses valeurs non partagées, ses différentes visions de l’éducation des enfants et ce que nous voulons leur transmettre complètement opposé. Et derrière ce que nous refusons de vivre, l’espoir d’une vie meilleure avec un environnement, des gens, une vie, un partenaire qui nous ressemble plus. Il est important de savoir cela pour vous motiver surtout les jours où les désirs de revenir en arrière, la culpabilité, la fatigue, la peur de l’avenir peuvent survenir.
7- Est-ce que je connais une personne pour garder des enfants de toute urgence en cas de besoin ?
Le parent seul a besoin de quelqu’un pour garder les enfants à : faire face aux heures supplémentaires, au refus de la crèche ou à l’école d’accueillir un enfant malade, de se recharger en cas de fatigue. Cette personne peut être quelqu’un de la famille, un ami, l’ex, une baby-sitter, une assistante parentale… Il est obligatoire d’avoir quelqu’un et si ce n’est pas le cas de demander de l’aide parce qu’il est difficile de s’en sortir tout seul, quelqu’un doit pouvoir prendre le relais pour éviter d’être accablé, fatigué, épuisé et vivre un parent n- out ou professionnel.
8- Quel est l’impact de cette séparation sur les enfants ?
Il n’y a pas de réponse unique à cette question. Chaque couple est différent, chaque enfant a sa personnalité. Certains enfants s’adapteront plus vite, d’autres beaucoup moins. Etre responsable, c’est étudier cette question, en apprendre davantage sur le sujet, ses impacts en lisant, en parlant à d’autres couples séparés, psychologues, aux enfants divorcés et aussi écouter sa petite voix intérieure. Quand on se sépare, tu ne sais pas comment le dire aux enfants. Il y a des préoccupations que les enfants en souffrent, craignent qu’ils soient très malheureux, mais le résultat dépend de nombreux paramètres tels que le climat familial avant la séparation, l’âge des enfants, leurs caractéristiques, la façon dont les parents vivent la séparation. Un enfant est une éponge émotionnelle, et s’il constate que ses parents restent amis et se respectent mutuellement, il acceptera mieux le changement. Si les parents se déchirer et utiliser l’enfant pour blesser un autre, sans surprise, l’enfant sera traumatisé.
Bref, l’important n’est pas d’apporter à son enfant son homme et de l’aider à accepter la situation en lui expliquant la raison de la séparation et en le rassurant qu’il sera toujours aimé par ses parents, qu’il ne sera jamais abandonné . Pour ma part, les enfants dont j’ai dû m’habituer à avoir deux logements et ils sont plus insouciants et riants puisqu’ils ne souffrent plus de tension permanente entre leur mère et leur père. Il est également nécessaire de considérer leur âge pour savoir ce que nous pouvons leur dire, partager… Un adolescent peut comprendre que la séparation rime avec un mode de vie réduit. Au contraire, je ne parle pas de problèmes d’argent à mon fils de deux ans et demi parce que je pense qu’il est trop jeune et a le droit à l’ignorance de certaines difficultés de ses parents.
9- Je ne suis pas heureux à cause de mon couple ?
Quand on a tort dans sa peau, on peut penser que la cause est l’autre qui ne nous apporte rien, ne nous fleurit plus, ne nous ravit pas… Mais cette conclusion mérite d’être vraiment approfondie et analysée. En effet, nous pouvons jeter sur l’autre la faute de son propre malheur, mais nous devons aussi prendre du recul et examiner sa vie actuelle pour voir ce qui nous rend vraiment malheureux ? Le fait d’être une femme au foyer ? La routine ? Un travail qu’on n’aime pas ? Des problèmes d’argent qui pourrissent la relation ? Avant de vous séparer, vous devez vous poser la question : que puis-je faire pour avoir une vie qui me passionne ? Une vie que j’aime ? Me former sur une nouvelle profession, créer une entreprise, voyager plus, déménager à la campagne, revenir vivre dans la ville, se rapprocher de la mer, expatrier etc etc etc etc etc ? Parfois, quand vous êtes malheureux, vous vous sentez noyé avec des idées négatives, triste les pensées et la confusion règnent, vous ne savez pas ce qui ne va pas et vous blâmez l’autre. D’où l’intérêt de cette question pour redresser la barre et nous donner les moyens d’aller mieux avec la vie que nous avons toujours voulu.
Car c’est paradoxalement quand vous commencez à être bien dans votre peau en faisant des changements dans son existence, que la vérité vient à la lumière et comprend si le couple peut renaître ou mourir. Être bien, nous infusons cette énergie à l’autre qui nous suit et il y a le bonheur trouvé ou inversement, l’autre ne nous suit pas, nous dénigre, nous décourage, nous tire vers le bas… et c’est la fin assurée…
10- Avez-vous peur de la solitude ?
Ne pas se séparer par peur d’être seul, ne pas trouver l’amour est négatif. Lasolitude fait partie de l’état de l’être humain, elle doit être acceptée . Et la solitude n’est pas nécessairement mauvais parce qu’il vous permet de se trouver, de passer du temps avec soi-même, de travailler sur soi-même pour mieux se connaître et de s’aimer les uns les autres. Si vous avez peur de la Solitude, demandez-vous pourquoi et comment l’apprivoiser… Parce que rester en couple par peur d’être seul ne garantit pas de ne pas être seul un jour.
11- Êtes-vous dans un processus d’interrogatoire ?
Si la réponse est oui, il y a de fortes chances que vous vous rapprochiez de ce qui est le plus important et vital pour vous. Plus cette approche est avancée, plus vous avez travaillé sur vous-même, appris à mieux vous connaître, plus vous ferez le choix qui vous apportera le bonheur, ce qui correspond à vous, c’est-à-dire reconstruire le couple ou le deuil.
Le développement personnel est un excellent moyen de devenir plus fort, de progresser vers ce qui nous rend heureux, de renforcer notre volonté, de devenir une meilleure version de soi-même, d’être déterminé à réaliser vos projets dans la vie en gagnant confiance en soi.
Après l’avoir vécu, je sais que prendre la décision de partir ou de rester est extrêmement difficile parce que vous savez ce que vous quittez, mais vous ne savez pas ce que vous gagnez. Et un saut dans l’inconnu quand on est parent est une source d’anxiété.
C’est pourquoi, pour ceux qui souhaitent aller plus loin dans cette réflexion, je propose une séance d’accompagnement à la prise de décisions. Chaque situation est unique, chaque couple est différent, car certains restent ensemble est la solution , et pour d’autres ce n’est plus possible.
Depuis 2014, des centaines de parents hésitants m’ont demandé.
Ma propre expérience personnelle en tant que mère divorcée apporte un regard NEUTRE à votre choix final. Parce que si la séparation est pour certains la meilleure option, je connais toutes les difficultés que ce choix crée dans tous les domaines de votre vie (amant, famille, amical, professionnel, financier).
Enfin, je partage ma propre citation pour méditer sur la séparation et le divorce que vous avez dû voir sur ma page facebook :
« La séparation et le divorce ne sont pas des tragédies. La tragédie est de mourir dans un couple malheureux et aimant. »
Heureusement, ce n’est pas une fatalité. Chacun a droit au BONHEUR EN AMOUR, que ce soit en sauvant son couple actuel ou en s’ouvrant à une nouvelle relation.
Il n’y a pas une seule recette pour le bonheur. Chacun porte en eux-mêmes sa propre solution pour s’épanouir dans l’amour.
Si vous sont une personne motivée et engagée dans un processus de développement personnel, nous discuterons de l’opportunité de mettre en place un support plus approfondi sur plusieurs semaines (entre 3 et 6 mois) pour vous accompagner vers une transformation durable et heureuse de votre vie en sauvant votre couple ou vous accompagnant à la séparation la plus sereine possible.